Depuis l’avènement de la pandémie du coronavirus, les hôpitaux sont de plus remplis de plusieurs cas confirmés. En France, la situation évolue de jour en jour avec la saturation des hôpitaux par région. Pendant que certains patients sont en soins intensifs, d’autres sont en réanimation. Le coronavirus est le mal du siècle.
Une saturation inquiétante
La flambée du taux de contamination enregistré dans les hôpitaux crée de la panique au cœur de la population. La situation hospitalière présente un aspect très écoeurant qui ne permet pas à tout le monde de dormir sur les deux oreilles. Les chiffres constatés donnent le vertige et inquiètent beaucoup le gouvernement. La progression irréversible de la courbe amène certaines personnes à se demander si les hôpitaux pourront vraiment supporter tout ce nombre qui frémit sous le coup de la pandémie.
Parmi les cas enregistrés, il faut noter ceux qui sont critiques et ceux qui sont moins traitables. Malgré cette situation accablante, des cas de contamination se font toujours enregistrer. Ce qui explique cette montée fulgurante est la négligence de la situation dès l’apparition des premiers signes. Ainsi, les patients sont déjà gravement atteints avant d’être transférés à l’hôpital. La probabilité est très forte qu’ils succombent. Car, l’État ne dispose pas assez d’hôpitaux pour prendre en charge tous les cas en un temps record.
De fait, les lits de réanimation sont également saturés avec des cas très critiques. Malgré les efforts encourageants que fournissent les médecins, il leur manque de mains-d’œuvre pour couvrir tous les patients. Les données ne font que monter de jour en jour pour créer de la panique et semer de la peur au sein des dirigeants. Face à cette situation, les soins médicaux connaissent un déficit lamentable. C’est une incidence qui a su trouver la faiblesse de l’homme incapable de trouver une mesure sécuritaire plus efficace pour protéger la race humaine.
Les patients entre la vie et la mort
Dans les régions telles que la Marseille et la Corse, les informations qui circulent révèlent la gravité absolue de certains sur leur lit. La fragilité de leur santé n’est pas favorable au covid 19. Du coup, ils sont entre la vie et la mort. Le taux de patients présents sur les lits de réanimation est de 40 % et 45 %. Cependant, dans les régions du sud de la France, la réalité est tout autre. Un de pourcentage de 128 % en Corse et 105 % dans la Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ce pourcentage est très inquiétant et ne donne pas un espoir de suivi des cas gravement atteints.
Malgré tous les efforts que fournit le gouvernement à la hâte pour maîtriser la pandémie, la situation demeure dans le même état. Il urge donc d’imposer à la population non atteinte des mesures barrières pour limiter le taux de mortalité. Peu sont ceux qui survivent dans les hôpitaux déjà saturés. Ils ne sont pas morts à cause de manque de soins, mais à cause de l’affluence des cas de contamination.
L’État continue toujours de réfléchir à la stratégie à mettre en place pour s’occuper de tous les cas afin de sauver plusieurs vies humaines. Aussi, les chercheurs sont-ils à l’œuvre pour trouver un vaccin efficace même si celui qui est trouvé arrive à immuniser le virus un tant soit peu.
